Une semaine que je n'ai pas vu passer, étant prise sous le feu de l'action : travail, cuisine, ménage ( le minimum !)...Vous connaissez ?! Je me suis accordée des pauses chocolat à croquer aussi, mes pauses préférées. Et puis quelle semaine ensoleillée, une luminosité dans l'appart qui te donne envie de faire des photos de tout et de rien. L'idéal dans ce cas là c'est de sortir et de profiter du soleil, moi ça s'est limité à la terrasse pour...la photographie.J'ai même zoomer chez ma voisine(chutt !), j'adore ses moulins à vent.
On passe au menu de la semaine ?!
♥ entrée ♥
Profitant d'une sortie en mer d'un rendez-vous chez le parodontologue (le stress!) sur Rouen, le train pas encore en gare, je me suis fait plaisir chez HEMA, ma boutique coup de coeur du moment. J'ai fait le plein au rayon papeterie au cas où je manquerai de stock. La bonne excuse ! Oui, j'en ai au moins une, je "post-it notes " beaucoup ! SMILE !
promis la prochaine fois, je repasserai la nappe :(
♥ plat ♥
Coté cuisine, ma tourte aux poireaux a eu du succès, alors évidement je SMILE !
Une fois les poireaux ( 4 moyens) tronçonnés et cuits à l'eau bouillante (15 à 20 minutes pas plus) je les ai rapidement fait revenir à la poêle avec un peu de beurre, puis j'ai ajouté 200 grammes de gorgonzola et 15 ml de riz crème cuisine ( je vous en parlerai bientôt). Il faut bien laisser fondre le fromage, à feu doux, pour un mélange homogène, question d'harmonie quoi. Le tout étalé après entre deux pâtes feuilletés. Y avait plus qu'à servir avec une scarole, la salade star de la maison en ce moment.
♥ dessert ♥
Je vous ai gardé le meilleur pour la fin. Oui, il est diététique comme dessert...à lire sans modération. SMILE ! Je vous parle du dernier livre de Laurent Gaudé mon auteur favori ( indétrônable !), un recueil poétique où les mots sont, comme toujours chez lui, puissants et bouleversants. "De sang et de lumière" ( poèmes de voyages)a rejoint ma pile fétiche de livres à relire...
(...)Je veux une poésie qui s'écrive à hauteur d'hommes. Qui regarde le malheur dans les yeux et sache que dire la chute, c'est encore rester debout. Une poésie qui marche derrière la longue colonne des vaincus et qui porte en elle part égale de honte et de fraternité. Une poésie qui sache l'inégalité violente des hommes devant la voracité du malheur...L.G